Une brume mystérieuse enveloppe chacun des tableaux de Tomasz Allen Kopera. S’agit-il de nuages, ou bien de brouillard, ou encore d’un effet de flou artistique, dans lequel notre regard cherche à démêler le mythe ?
Chaque toile est une fenêtre sur un ailleurs irréel, où prévaut une espèce de surréalisme magique. Un déluge de couleurs pastels recouvrent des personnages – faits de chair, de pierre ou de bois –, dont les contours tendent à s’émousser dans le lointain de nos rêves.
Le végétal surgit toujours comme une soudaine lueur d’espoir dans la mélancolie. Couronnant ce couple de statues enlacées pour l’éternité, ou subsistant en plein milieu d’un désert rocailleux, comme par enchantement. Ces quelques nuances de vert font ressortir tout le nuancier mauve dont use et abuse Alen Kopera.
Il était une fois, ailleurs…
On touche au sublime dans la création le message et la réalisation
Ce lien entre la vie le minéral, le végétal, le céleste et la reconnexion
La vie est là forte et éternelle au delà de toutes visions matérielles, c’est notre esprit qui brise tout regard déjà fané et se remet en ordre de marche par la création surréaliste
UN GRAND TALENT !!!
On a donné un crayon a André Breton KOPERA, il écrit différemment mais le message est le même
Prenez ces roses qui grimpent au puits des miroirs
Prenez les battements de tous les cils
Prenez jusqu’aux fils qui soutiennent les pas des danseurs de corde et des gouttes d’eau
Art des jours art des nuits
Je suis à la fenêtre très loin dans une cité pleine d’épouvante
Extrait de NON LIEU / CLAIR DE TERRE
ANDRE BRETON