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Ondine, la belle fille de l’eau, signe un pacte cruel pour l’amour d’un chevalier humain, trop humain… Au fil d’un dialogue riche et limpide comme un ruisseau, une définitive histoire d’amour et d’amertume.
Le Livre de Poche, 1975, 155 pages
Commentaires
Il y a 2 commentaires.
Oh yes c’est une pièce superbe, qui m’avait laissé à la fois une impression de fraîcheur pure et d’enchantement, mêlée à un goût salé de larmes…
Grand plaisir en tout cas de retrouver ici cette bellle et touchante Ondine, très à sa place dans les mondes de la Lune Mauve ! :)
Il me semble en effet qu’Ondine a tout à fait sa place ici. Elle incarne un esthétique très répandu, un des modèles-types de l’esthéthique dit « gothique ». Je parle ici d’un hypothétique courant gothique sérieux, philosophique et construit, je ne sais s’il existe ; s’il exitait, il aimerait Ondine. Mais, même au-delà de cette semi-utopie et dans les milieux d’adolescents et dadultes tout vêtus de noirs , maquillés à la pelle et faisant des pseudos-sortilèges à tous ceux qui sont méchants avec eux (le cliché est voulu, rassurez-vous), cette figure reste présente.
Ondine a de nombreux traits caractéristiques qui font d’elle un véritable mythe, qui a tout ce qu’il faut pour être une figure symbolique à part entière (bien qu’elle soit, comme tout bon personnage symbolique, assimilable à d’autres qui lui ressemblent fort tout en paraissant différents). De toute façon, ce n’est pas un mystère, son nom lui-même l’indique, l’ondine est issue de la mythologie nordique. C’est une nixe ou naïade.
Je développerait sans doute plus tard, un autre jour, après l’avoir relu. Même si cela n’intéresse sans doute pas grand-monde à par moi.
Oh yes c’est une pièce superbe, qui m’avait laissé à la fois une impression de fraîcheur pure et d’enchantement, mêlée à un goût salé de larmes…
Grand plaisir en tout cas de retrouver ici cette bellle et touchante Ondine, très à sa place dans les mondes de la Lune Mauve ! :)
Il me semble en effet qu’Ondine a tout à fait sa place ici. Elle incarne un esthétique très répandu, un des modèles-types de l’esthéthique dit « gothique ». Je parle ici d’un hypothétique courant gothique sérieux, philosophique et construit, je ne sais s’il existe ; s’il exitait, il aimerait Ondine. Mais, même au-delà de cette semi-utopie et dans les milieux d’adolescents et dadultes tout vêtus de noirs , maquillés à la pelle et faisant des pseudos-sortilèges à tous ceux qui sont méchants avec eux (le cliché est voulu, rassurez-vous), cette figure reste présente.
Ondine a de nombreux traits caractéristiques qui font d’elle un véritable mythe, qui a tout ce qu’il faut pour être une figure symbolique à part entière (bien qu’elle soit, comme tout bon personnage symbolique, assimilable à d’autres qui lui ressemblent fort tout en paraissant différents). De toute façon, ce n’est pas un mystère, son nom lui-même l’indique, l’ondine est issue de la mythologie nordique. C’est une nixe ou naïade.
Je développerait sans doute plus tard, un autre jour, après l’avoir relu. Même si cela n’intéresse sans doute pas grand-monde à par moi.
A vous,
Làncze.